Farah Al Qasimi (UAE, 1991) makes photographs, films and music. Often working with large-scale vinyl imagery and a multiplicity of photographic prints and screens, she is interested in the internet and its hierarchies of information and emotion.

Recently, she held exhibitions at Gwangju Biennale, Francois Ghebaly Gallery, the Contemporary Art Museum of St Louis, and the Sharjah Biennial. "Buzz Pollinator" sprouts from the weeds and plant life that have been taking over the Asiat military base since it was abandoned. Blown up glowing flowers, giant mushrooms, bugs and butterflies appear amidst the greenery, exploring the concept of plant communication and the essential role of insects in pollination. By incorporating plants that are found in the local environment such as sweetbriar, lily, and wild strawberry, Al Qasimi emphasizes the importance of preserving and protecting the natural world. The metal flowers are actually music instruments, inviting to the audience to tune in with the melodies of this biotope, to imagine the ways in which plants communicate with one another through sonic emissions. 

The integration of this fairy-tale garden into the park creates an immersive experience for young and old: a place of playfulness and imagination.

Farah Al Qasimi (EAU, 1991) réalise des photographies, des films et de la musique. Travaillant souvent avec des images vinyles à grande échelle et une multiplicité d’impressions photographiques et d’écrans, elle s’intéresse à l’internet et à ses hiérarchies d’informations et d’émotions. Elle a récemment exposé à la Biennale de Gwangju, à la galerie François Ghebaly, au Contemporary Art Museum of St Louis et à la Biennale de Sharjah.

“Buzz Pollinator” jaillit des herbes et des plantes qui ont envahi la base militaire d’Asiat depuis qu’elle a été abandonnée. Des fleurs lumineuses, des champignons géants, des insectes et des papillons apparaissent au milieu de la verdure, explorant le concept de communication entre les plantes et le rôle essentiel des insectes dans la pollinisation. En incorporant des plantes que l’on trouve dans l’environnement local, telles que le mélilot, le lys et la fraise des bois, Al Qasimi souligne l’importance de la préservation et de la protection du monde naturel. Les fleurs métalliques sont en fait des instruments de musique, invitant le public à s’accorder avec les mélodies de ce biotope, à imaginer la manière dont les plantes communiquent entre elles par le biais d’émissions sonores.

L’intégration de ce jardin de conte de fées dans le parc crée une expérience immersive pour petits et grands : un lieu de jeu et d’imagination.

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